Re: L'ankamapocalypse D:

par **Cat :p** Mar 11 Oct 2011 - 18:15

// merci de dire quand la nuit est entièrement tombée \o/ histoire que je rate pas ma chance à l'épicerie :3//

par **Pan** Jeu 13 Oct 2011 - 21:02

Ils sont partout... Je les entends... Ils arrivent de chaque rue, ruelle, maison, commerce. Une horde se forme, je ferme les yeux un instant. J'ai l'impression que tout est perdu d'avance. Au fond de moi je crois que je l'ai toujours su. Ma main se pose sur la garde de mon épée, si je dois partir, autant le faire avec éclat ! Je jette un coup d'œil derrière moi. Non... Je n'ai pas envie de devenir comme eux... Pas comme eux... Bavant, hurlant, saignant... Ceux qui tombent sont piétinés, ils hurlent et arrivent de partout... Partout ! NON !

J'accélère, je cours comme jamais. Je ne sens même plus mes jambes, ni quoi que ce soit d'ailleurs.

Tout à coup, une idée. Folle. Ma dernière chance. Chance... Chance, je te supplie, soit de mon côté ! Je fonce sur une porte et tourne la poignée... J'entends un déclic et la porte s'ouvre sans difficulté. À l'intérieur, une odeur de cadavre me saisit. J'en ai la nausée. Je referme la précieuse barrière de bois massif derrière moi pour chercher une autre issue. Je place quelques meubles devant la porte, ultime rempart contre "eux".

Encore heureux de ma chance. Je me met à la recherche d'un échappatoire. Rapidement, j'en trouve un. Une simple porte derrière la demeure. Je sourie. Une fois dehors, je n'ai plus qu'à m'orienter vers le lieu de rendez-vous, espérant que le mystérieux étranger y sera...

Arrivé, il n'y a personne. Pas encore, j'espère. J'espère... Seul, avec cette lourde armure je ne crois pas vraiment survivre longtemps... Trop nombreux... J'attends devant le commerce impatiemment...

[HS] Peu de temps ces derniers temps... Mes efforts ont été récompensés je suis le meilleur de ma classe en Espagnol et en Histoire :D (Par contre, les maths...) Bref, j'ai 4 jours de congé là :D [/HS]

par Invité Mar 1 Nov 2011 - 12:52

// Allez! On arrête de chômer!! //

Un moment de silence succéda le départ du Sram. On se sentait moins en sécurité sans lui, Le seul adulte du groupe. Dans l'abris, le sol était jonché de vestes, de tissus pour la plupart tachés de sang. La première chose que j'ai voulu faire, c'était me débarrasser de cette odeur de métal qui était imprégnée dans mes habits. Je retirai ma chemise pour dévoiler mes tatouages bleus cobalt qui recouvraient le dessin de mes côtes et le relief de mes omoplates.

Quelle vêtements je pourrais bien prendre ici? J’avais l'embarras du choix. Finalement j'optai pour une chemise et une veste longue qui tombait jusqu'à mes genoux. Les manches un peu longues ont dû être retroussées. Je décidai de garder mon pantalon. D'abord parce que ça serait indécent de se déshabiller devant eux, et puis il n'était pas si sale que ça. Je piochai dans les bandages pour en enrouler autour de mes bras recouverts de plaies. Je n'étais pas sûr, mais il me semblait que laisser mes plaies à l'air était trop risqué, même si elles ne sont que superficielles...
Finalement un foulard fera l'affaire pour protéger ma bouche.

Il ne me restait plus qu'à protéger mes yeux. Le petit féca roux qui ressemblait vachement à une fillette portait des lunettes sur son beret.
Dis, comment t'appelles-tu? Disais-je en m'approchant de lui (ou d'elle). Tes lunettes ont une valeur sentimentale, pour toi?

par **Kamilla** Mar 1 Nov 2011 - 13:39

// Panaaaach \o/ //

Le petit Féca s'était assis sur une caisse en attendant le retour de l'adulte; Il jouait nerveusement avec les manches trop longues de sa veste jusqu'au moment où on lui adressa la parole. Rela leva vivement sa tête et aperçut le Sacrieur qui, visiblement, avait changé le haut de son habillement;
Euh ... Moi c'est Relania Raeliss ... Mais tu peux m'appeler Rela, fit-il pour la seconde fois (parce que fuir face à des infectés ça fait perdre la mémoire ' -' ... Le coup du "comment tu t'appelles" on l'a déjà fait en page 1 \o) ... Toi c'est Koh non?

"- Tes lunettes ont une valeur sentimentale, pour toi?"

Relania considéra le jeune Sacrieur comme si il venait de lui annoncer la mort de tout sa famille. Il retira ses lunettes et les serra dans ses mains;

En fait... Oui, pas qu'un peu vu que je les ai récupérées sur le... enfin... mon père...
Il réprima un sanglot.
Bref... Le plus important reste quand même ce que j'ai là-dessous, finit-il en tapotant sur sa tête, laissant supposer qu'il y avait quelque chose sous son couvre-chef. Il pivota sur lui-même pour faire en sorte de se retourner vers les autres enfants;
Dites... Peut-être qu'on devrait se préparer si on devait sortir de là, comme Koh... non?

par **panach** Mar 1 Nov 2011 - 23:58

Les pas du sram frappant fort le sol de pierre, résonnaient dans tout le canal souterrain. Il s'arrêta brusquement à une échelle, presque en la heurtant, et la grimpa à toute vitesse. Une fois le crâne en contact avec la bouche d'égout, il devint plus calme, et méfiant. Il défit les nœuds des cordes qui maintenaient la bouche fermée, et la souleva doucement, et discrètement. Malheureusement, la bouche ne donnait pas directement sur l'épicerie... mais sur une boutique d'antiquité à un pâté de maisons plus loin. A travers sa fine fenêtre d'observation, il apercevait des infectés qui traversaient juste devant lui, allant de gauche à droite. Ils étaient surement à la poursuite du soldat en armure.

Il préféra attendre qu'ils soient tous passé, et sortit de la bouche avant de la refermer ensuite. Il traversa la rue, pour se faufiler dans les ruelles, plus discrètes. Au fur et à mesure qu'il se rapprochait, les cris d'infectés se faisaient plus fort, lui indiquant ainsi la bonne direction. Il entra dans une maison par derrière, et fut frappé par l'état de la demeure : des murs faits d'une belle pierre blanche lisse, des poutres d'un bois propre et clair, une belle décoration, composée de jolis tableaux ressortant bien des murs et de meubles marron sans aucune éraflure...

c'est comme si cette apocalypse n'avait jamais existé...

Mais il fut tiré de sa rêvasserie par des ombres qui filaient devant la fenêtre de la façade, à coté de la porte d'entrée. Il verrouilla la porte plutôt massive, et monta à l'étage. Il passa par une fenêtre donnant sur une ruelle isolée, du coté opposé à celui de la façade, et monta sur le toit. il essaya de repartir son poids sur chaque pas de façon a faire le moins de bruit possible sur les tuiles. Il enjamba ainsi deux ou trois toits de maisons, dont une ou la horde d'infectés de tout à l'heure s'acharnait après une porte en bois bien solide. Il comprenait que le soldat était passé par là. Il alla vers l'épicerie, toujours sur les toits, et vit enfin, le guerrier seul, à attendre. Il descendit de son toit, en se réceptionnant sans bruit sur ses jambes et courut vers lui.

"Viens avec moi si tu veux vivre"

par Invité Sam 5 Nov 2011 - 9:36

// Bon.... Panach, si tu veux tu peux prendre le contrôle du personnnage de Feren. Parce que, comme d'habitude, il va pas réapparaitre avant l'été 2014.
Et ça serait bien que Lily et Maeve montre qu'elle sont encore en vie :° //

par **Lily** Sam 5 Nov 2011 - 10:50

// Sa marcheuuuuuuuh, VICTOIRE! \o/ //

L'Ecaflip s'était péniblement assis et étiré sur le matelas qui lui servait de lit. Après avoir reniflé les boites de conserves qu'avait proposé Faw pour qu'ils mangent. Il s'était assuré qu'il n'y avait pas de trous, et apparemment il n'y en avait pas.
Assit sur le matelas à l'hygiène douteuse, il regarda toute la pièce où ils étaient enfermés.
Le Sacri, Koh si il se souvenait bien, commençait à cherché des vêtements.
Il regarda les bandages sur son ventre et soupira. Une petite pointe rouge commençait à apparaitre. Il posa sa main dessus et fit une grimace. Heureusement, personne ne l'avait vue, ils étaient presque tous entrain de discuter, et c'était mieux comme ça.
Une force douleur le lançait au ventre, et l'odeur de l'infecté dans la salle à côté n'étais pas là pour arranger son malaise. Il devait remplacer ses bandages, ne pas laisser les autres le voir comme ça. Il était le deuxième ainé du groupe, quand même, même si il ne considérait pas ce Faw comme un 'membre'. Mais,
il commençait à avoir sommeil, tous doucement, il ferma les yeux en ignorant tous ce qui l'entourait et même la tâche rouge qui devenait de plus en plus grosse sur ses bandages.

// Merci à Kami d'avoir corrigé les fautes. '3' //

par **Maev'** Sam 5 Nov 2011 - 19:06

Dragie pris une conserve, parvint avec difficultés à l'ouvrir, et trempa son doigt dedans pour goûter le jus de ce "tofu grasgras VS pioupiou"
Hmmmmouais, c'pas trop mauvais ! Ça me rappelle la fois que mon papa a essayé de faire à manger: maman était en voyage pour deux jours. C'était pas booon ! Même lui il a tout donné à mon tof...
A l'allusion de son compagnon disparu, l'Osamodette coupa son souffle. Mais elle se repris rapidement et s'assit sur le matelas où s'était étendu l'Ecaflip.
T'as pas encore mangé, j'ai vu. Tu devrais, tu sais, c'est pas si mauvais ! Tiens, on partage !

En tendant la boite, Dragie remarqua la tache de sang qui se répandait sur les vêtements d'Eins. Elle lâcha la conserve qui répandit son contenu sur le matelas, puis sur le sol, et elle cria comme à son habitude en reculant.
Rellagna ! Koh ! Vite ! Du sang ! Eins est blessé !!

par **Kamilla** Dim 6 Nov 2011 - 15:52

// Le pire c'est que Feren il est venu et il a pas posté :°//

"Rellagna ! Koh ! Vite ! Du sang ! Eins est blessé !!", retentit une voix suraiguë dans le sous-sol.
- On dit "Relania", Dra-- Eins?! Bl-blessé?!, fit Rela avant de se figer. Il reprit vaguement ses esprits et accourut aurpès de la petite Osamodas et l'intéressé.
- Mince... Quand est c'qu'on lui a fait ça? C'est... c'est terrible!
Le Féca courut chercher une trousse de soins, mais ne réussit à qu'à dénicher des lambeaux de tissu. En revenant avec sa trouvaille il se rendit compte qu'Eins portait déjà des bandages au niveau de sa plaie.
- ... Ah... Donc normalement c'est une blessure qui n'a pas été provoquée par les monstres du haut si elle s'est juste réouverte... J'espère...
Il déambula ensuite vers le Sacrieur
- Koh, y va falloir qu'on enlève les bandages d'Eins pour pouvoir les remplacer... Tu pourrais nous aider?

par Invité Dim 6 Nov 2011 - 18:22

Au cri d'alerte de Dragie, je me figeai.
"Je viens" Dis-je en prenant une pierre assez robuste pour assommer quelqu'un.
Une tache de sang dont le diamètre ne cessait de croître colorait les bandages sur le ventre de l'Ecaflip.
Qu'est-ce qu'il t'arrive? Dis-moi que ce n'est pas une morsure!

// Wais wais je sais... Très court. //

par **Lily** Lun 7 Nov 2011 - 20:40

Co... Quoi ?! Pourquoi vous.. ?!!
Il se réveilla en sursaut, et vu l'Osa sur ses genoux et l'intérieur d'une conserve vidé sur le matelas qui mouillé la moitié de son pantalon, maintenant.
Il vu alors Koh prendre une pierre et venir dans sa direction.

"Qu'est-ce qu'il t'arrive? Dis-moi que ce n'est pas une morsure!"
Il reprit d'abord ses esprit et un sourire plein d'ironie se dessina sur son visage.
Ha-ha, si c'était une morsure de c'est choses là, dehors, il y a longtemps que je serais devenu l'un deux! Réfléchit un peu!

Eins rigola d'un rire moqueur et observa ses bandages.
Il soupira, il devait les changeaient. La tache était maintenant bien visible et recouvrait presque la totalité des bandages.
Il commença alors à se levait et fut pris d'une violente douleur et retomba.

// Je fais pas plus long, pas tros le temps. //

par **Pan** Lun 7 Nov 2011 - 21:58

[HS] Fuuuuuuuuuuu désolé U_u Le forum m'est complètement sorti de la tête ! Je me dépêche de vous pondre un truc ;D ! [/HS]

Je l'observe de la tête aux pieds, ébahit. Je n'en crois pas mes yeux, il est vraiment venu... Moi qui m'était résolu à mourir... La chance semble enfin me sourir. Je me frotte les yeux, incertain de ce que je vois.

"Viens avec moi si tu veux survivre!"
"Pas de problème! Je ne demande que ça."

Je ne me le fais pas dire deux fois et le suis le plus discrètement possible. J'essaie d'entamer une discussion.

"Alors, euh... Comment avez-vous survécus jusqu'à présent ?"
[HS] C'est vraiment horrible comme post je l'avoue... Seulement... Ces temps-ci j'suis super mou x.x' [/HS]

par **panach** Mar 8 Nov 2011 - 0:19

Faw aurait préféré éviter de tapper la causette, pour ne faire aucun bruit, et parce qu'il n'était pas très à l'aise dans les moments stressants, mais il répondit tout de même, tout en rebroussement le chemin vers le toit duquel il est descendu.

"...La discrétion ... j'ai..je n'utilise aucune arme, je fais juste gaffe à me déplacer discrètement et rapidement. C'pour ça que j'ai établi un abri dans les égouts... On y est en sécurité."

Il grippa à nouveau sur le toit par une tuyauterie, et aida le soldat à monter à son tour, tant bien que mal. La lourde armure ne facilitait vraiment pas ses déplacements, et faisait un boucan du diable lorsque les pièces s'entrechoquaient. Il réussit finalement à monter à son tour. Le sram lui dit :

"...Et c'est aussi pour ça que j'emporte le moins de choses possibles sur moi. Tu devrais laisser cette armure ici, ça fait trop d'bruit... et si on se fait courser par des infectés, ils te rattraperont, et moi je te sèmerais..."

par **Pan** Ven 11 Nov 2011 - 19:13

"...La discrétion ... j'ai..je n'utilise aucune arme, je fais juste gaffe à me déplacer discrètement et rapidement. C'pour ça que j'ai établi un abri dans les égouts... On y est en sécurité."

Je le regarde dédaigneusement. Un poltron, voilà à quoi j'ai à faire. Ce qu'il fait est l'exact opposé de ce qu'on m'avait appris à Brâkmar. J'écarquille les yeux lorsque je le vois s'élancer vers un mur pour s'agripper à sa tuyauterie et se mettre à y grimper. Arrivé au sommet, il me lance un regard qui me fait immédiatement comprendre que je n'ai pas le choix.

J'agrippe la tuyauterie, imaginant le pire si tout lâche. Je ferme les yeux et entame une douloureuse et lente ascension. Heureusement, Saw vient m'aider à me hisser sur le toit.

"...Et c'est aussi pour ça que j'emporte le moins de choses possibles sur moi. Tu devrais laisser cette armure ici, ça fait trop d'bruit... et si on se fait courser par des infectés, ils te rattraperont, et moi je te sèmerais..."

Son regard pèse sur moi alors que je reprends mon souffle, je le sens.

"Écoute, cette armure m'a permis de survivre jusqu'ici, et c'est l'une des dernières choses qui me restent, avec mon épée. Je tiens à ce tas de ferraille!" Je lui montre les bosses et lacérations pour confirmer mes propos.

Je lui tends ensuite une main gantée.

"Au fait, moi c'est Feren."

par **Pan** Mer 16 Nov 2011 - 22:21

Up x( ?

par **panach** Sam 19 Nov 2011 - 1:26

"... Heu et moi, c'est Faw" répondit le sram, en lui serrant la main. Après cette poignée de main, il baissa le regard vers l'armure de Feren, la désigna en la tapant légèrement avec la phalange de l'index, et lui dit :

"Tu y tiens plus qu'à ta propre vie ?... Ok..." Faw n'insista pas, et se contenta de reprendre le chemin inverse pour rentrer à l'abri.

Les mouvements du zobal étaient moins rapides que ceux du sram, et moins discrets car plus bruyants, ce qui stressait Faw. Il avait peur d'attirer la horde à tout instant. Il décida de passer par des toits plus éloignés, et des ruelles étroites et avec des accès limités, pour avoir moins de chances de tomber sur des infectés.

Ils arrivèrent finalement dans une maison close, dont une fenêtre à l’étage donnait sur la rue où était la plaque d'égout qui menait à l'abri.
Il inspecta : presque aucun infecté, seuls quelques uns à chaque bout de la rue, ce qui forçait tout de même Faw et Feren à agir vite lorsqu'ils voudront entrer dans les égouts.

Faw se retourna vers Feren :
" - .. Prêt ?"

par **Vlad'** Sam 19 Nov 2011 - 12:52

Calmé, repus.
Fatigué, surtout. Je déambule dans les rues. Je ne vais nul part... Ou bien je vais partout à la fois. Il dois bien y avoir des survivants... Je ne peu me contenter de tuer ceux qui sont comme moi. Je dois contaminer. Je dois massacrer. Je dois tuer. Je dois broyer. C'est ma raison d'être... Sinon, la douleur reviendra... Il tuer d'autres contaminés ne me suffis plus. La douleur reviendra quand même.
Bruit. Métal. Creux. Un écho....
Difficilement, je baisse la tête, je stop ma lente marche. Une plaque d'égout. Ce n'est que ça... Une simple plaque... Pas de vivant... Rien à contaminer... Rien à exterminer... Et cette douleur, que je sens toujours présente, prête à revenir...
Calme, repus... Mais pas pour longtemps...
Je relève la tête, je reprend ma marche. Où êtes vous...

par **Kamilla** Sam 19 Nov 2011 - 22:10

Relania considéra avec horreur les bandages de l'Ecaflip s’empourprer. Il fallait agir! Il fallait faire quelque chose pour aider leur ami, de toutes façons il ne craignait rien ici et il pouvait encore s'en sortir! ...
Le petit Féca eut un mouvement de recul lorsqu' Eins retomba à terre. Il accourut dans sa direction, sans savoir exactement quoi faire... A part changer les bandages du blessé. Il pose une main frêle et timide sur le noeud qui les retenait;
J-je suis désolé... Il faut qu'on te soigne!
Et sans réfléchir, il défit avec une étrange aisance, sans que l'Ecaflip n'eut le temps de l'envoyer balader, le noeud avant de laisser les bandelettes de tissu tomber lentement.
Rela déglutit.
:<

// A que valà '-' Si Lily n'est pas d'accord, dites-le moi \o //

par **Cat :p** Dim 20 Nov 2011 - 14:45

Nuit. Pénombre et obscurité.
Flech est à présent dans son élément. La chasse est ouverte. Sortant par la même fenêtre ou elle est entrée, elle se laisse tomber sur le sol ou des infectés trainent encore et réduit la tête d'un de ces derniers dans la lourde réception.

Human l'air bestialement elle s'approche de la plaque d'égouts. Des odeurs familières s'y mélangent. Elle gratte la plaque d'égout à la manière d'un chien mais perdant patience elle décide de changer d'endroits.
Il n'y a plus personne ici.

Alors avec une dextérité meurtrière elle court dans les ruelles. Elle vit un plus gros groupe d'infectés s'afférer autour d'un magasin en hurlant. Ils sont trop nombreux pour surement pas grand chose. Elle décide de passer son chemin, attiré par un autre infecté lui seul plus loin.

Calme, repus... Mais pas pour longtemps...

Flech se cache dans la ruelle et décide d'observer avant d'agir.

par **Vlad'** Dim 20 Nov 2011 - 22:50

Mais où êtes vous... Je ne veux que votre mort... C'est bien la mort... La souffrance nous fait faire des choses... J'ai mal, je souffre... Je veux juste vous tuer... Je veux juste pouvoir calmer cette douleur qui refait lentement surface...
Bruit... Sons... faible...
Il ya quelqu'un ? Je ne vois pas assez pour savoir... La simple lumière de la lune me fait mal à la tête... Je ne veux pas ouvrir complètement les yeux... Je ne veux plus souffrir... S'il ya quelqu'un, qu'il vienne... Je veux juste le tuer... Ami ou ennemis, c'est sans importance... Je dois me calmer. Et pour me calmer, je dois tuer...
D'autres comme moi font du bruit à droite, près d'une maison... S'il ya quelqu'un dedans, je veux pouvoir lui faire la peau... Je veux pouvoir lui broyer le crane, sentir cette masse gluante faire suite au fracas des craquement de sa boite crânienne... Sentir son contenus gélatineux et cérébrale se répandre entre mes mains... Sentir cette douleur disparaître, alors que je regarde les deux yeux de ma proie implorer la pitié, puis sortir de leurs orbites...
Frissons... De pensés positives...Je vais tuer...
Qu'importe que l'on me suive, qu'importe ceux qui bloque le chemin, qu'importe la résistance, qu'importe la douleur, qu'importe la pitié, qu'importe les plaintes et les hurlements...

J'arrive.

par **Cat :p** Mar 22 Nov 2011 - 21:06

L'autre semble ne peut pas apprécier la compagnie. Il dégage une aura que flech ressent bien... elle n'est pas sur son territoire et sa technique tombe à l'eau. Près de cet infecté elle devient proie et non chasseuse.
L'instinct de survie lui interdit de bouger pour ne pas se faire repérer. Frustrée, cette dernière bouillonne de rage et d'effroi quand elle pense à la nourriture plus loin déjà en chasse par un autre.

//une infecté qui pense ....... lolilol ? :'D //

par **Pan** Ven 25 Nov 2011 - 23:41

// Je poste tantôt, juré ! //

Ajout Vladesque : j'attend, justement... =D

Ajout Ferenesque : Mon ordinateur est comment dire... K.O. Je suis présentement chez un ami, d'où j'DEIT... Je permets à "n'importe qui" de contrôler mon personne pour envrion une semaine. Je ne veux rien retarder '-' Merci.

par **Vlad'** Mar 29 Nov 2011 - 23:04

Je suis près de la maison. Des infectés essaient d'ouvrir la porte. Ils grattent, ils ne savent faire que ça... Ils incarnent l’inutilité... Moi je suis utile. Moi je pense, moi je vie. Moi, je ressent la douleur. Eux ne sont rien. Je ne sais pas ce qu'ils pensent, ni a quoi ils pensent. Je ne sais rien d'eut, à part qu'ils tue pour le plaisir de tuer... Lorsqu'on tue, on le fait pour une bonne raison. Ils n'en ont pas. Mais moi...
... La douleur...
Je les aient rejoins. Je dois calmer ce mal qui gronde en moi. je dois me calmer, en attendant de trouver enfin un humain à broyer. Pour ce faire, je lève ma main au ciel. Et je l'abat brutalement sur le premier qui passe. Les craquements sont jouissif... Si les pensés ne me faisaient pas autant souffrir, j'aurais volontiers imaginé un survivant à la place de cet infecté banal... Le sang explose de partout. Je sert mon poing sur ce qui reste de bouillis crânienne de l'infecté que je viens d'écraser. Et je la réduit ainsi à néant.
... La douleur...
Il ne me reste plus qu'à briser la porte et chercher des survivants dans cette maison.
J'arrive.

// Je meuble en attendant le retour de Feren... Cf, post du dessus... //

par **Pan** Dim 4 Déc 2011 - 14:02

"... Heu et moi, c'est Faw" Faw, hein ? C'est un nom étrange que je n'ai jamais entendu. Je ne m'en formalise pas, je n'en ai pas le temps ni l'envie en ce moment... Il touche ensuite mon armure.

"Tu y tiens plus qu'à ta propre vie ?... Ok..." Il semble ne pas comprendre. Je m'en fiche un peu, le seul qui doit comprendre, c'est moi. Et puis, de toute façon, m'en débarasser maintenant ferait bien plus de bruit que n'imorte quoi, attirant ainsi une horde d'infectés.

Je n'aime pas me promener sur les toits. C'est comme marcher sur le ciel. Je déteste cela. Je ne suis vraiment à l'aise que sur la terre ferme, ou sur un champ de bataille...

Nous entrons dans une toute petite maisonnette qui donne sur une plaque d'égout que Faw observe un instant avant de regarder s'il n'y a aucuns infectés. Quant à moi, je décide de faire le tour de la maison. Il n'y a plus aucuns meubles ! Les occupants ont du déserter avant que la menace n'arrive à eux... La maison est très petite, ce qui pourrait se révéler être un désavantage si nous devions nous battre. Je ne sais pas pourquoi je songe toujours à trouver les sorties et à observer l'endroit où je me trouve.

Faw est encore à la fenêtre et je m'approche de la porte. J'entends, horrifié, des grattement à celle-ci... Je fais signe à Faw d'approcher discretement. L'affrontement me semble inévitable... Un craquement sourd se fait entendre, je crains de voir la porte céder, mais ce c'est pas cela qui a craqué... Je dégaine mon épée dans une affreuse et terriblement longue plainte métallique. Je grimace. Faw se tourne vers moi.

" - .. Prêt ?"

J'acquiesce.

par **Maev'** Dim 4 Déc 2011 - 14:54

Dragie regardait d'un air fasciné la plaie. Dès que la question s'imposa dans son petit esprit d'enfant, elle n'hésita pas et demanda :
Wah... C'est vachement gros quand même ! Comment tu t'es fait ça ?!

//Rappel, elle pose la question à Eins, dans le repaire de Faw//

par **Vlad'** Dim 4 Déc 2011 - 19:27

J'entre dans la bâtisse. Poussière et noirceurs m’accueillent comme de vieilles amies. Mais ce n'est pas tout. Le bruit est aussi de la partie. Et pas seulement un bruit de boit brisé, non. Un bruit de métal. Un bruit humain. Rapidement suivis de ce qui me semble une confirmations à mes dires.
"... Près ?"
Une voix. Une voix pleine de puissance, de forces et de convictions. Une voix humaine. Enfin.
Enfin.
Enfin...
Je ressent déja l'horreur de la situation. L’excitation du sang bouillant encore dans les veines humaines, et qui bientôt, viendra se répandre sur le sol de l'habitat. Je jubile d'avance. Il sont deux. Du peu que j'en vois. Et du peu que j'en entend, à travers les hurlements complètements inutiles des simples infectés. Infectés que je laisse passer entre moi. Que mon gibier s'acharne contre ces stupides créatures en premier. Je les écraseraient une fois que la fatigue aura pris possession de leurs corps.
Plus... de douleur...
Je viens à vous, humain. Et la mort aussi.

// N'oubliez pas de me recadrez, si vous trouvez que je tombe trop dans le pata, hein... //

par **Lily** Dim 11 Déc 2011 - 9:35

// Hug, désolé pour le temps de réponse, bugs //

Quand le petit rouquin défit le bandage taché du sang de l'Ecaflip, celui-ci était assit sur le speudo matelas a l'hygiène douteuse.
Les bandages tombant, des énormes marques rouge firent leurs apparitions sur son ventre et son torse. Des marques de griffure.
Eins baissa la tête pour regardé, instinctivement.

"Wah... C'est vachement gros quand même ! Comment tu t'es fait ça ?!"

A ce moment là, sa tête commença a tournée. Et avants qu'il est eu le temps de répondre à la question de la jeune Osa, il tombat dans les vapes, faisant du bruit un tombant sur le matelas, le sang coulent dessus.

//Je fais court, j'ai pas tros d'idées en ce moment o/ //

par **panach** Dim 11 Déc 2011 - 21:38

- Prêt ?

Feren acquiesça. Faw entendit les bruits des infectés se rapprocher. C'était maintenant, ou jamais.
Faw ouvrit la fenêtre, et l'escalada, avant de chuchoter à Feren :

"Dès que j'ouvre la bouche d’égout, tu saute à ton tour et tu cours te jeter dedans, pendant que je la retiens"

Sur ce, il sauta, se réceptionna au sol dans le silence et la discrétion la plus totale, et marcha accroupi, sur la pointe des pieds vers la bouche d'égout. Il l'ouvrit aussi discrètement qu'il put, mais les crissement du métal sur la pierre attirèrent l'oreille des infectés, qui aperçurent le sram assis par terre, la plaque dans les mains. Bizarrement, ils ne se jetèrent pas immédiatement dessus, mais commencèrent plutôt à marcher curieusement vers lui. Il siffla pour donner le signal à Feren qu'il pouvait y aller. A ce moment là, les infectés accélérèrent et se mirent à grogner, en même temps que le soldat en armure se mit à cheval sur la fenêtre.

Feren devra faire vite, les contaminés s'approchaient de plus en plus de chaque bout de la rue, et la porte de la pièce où ils se tenaient cachés avant, ne tarderait pas à céder.

par **Vlad'** Dim 11 Déc 2011 - 22:20

Un sifflement. A l'extérieur. Des infectés qui quittent la maison. Un bruit de métal. Des infectés qui court et hurlent.

https://www.youtube.com/watch?v=14WoDHbwO0E

Non ! Ils ne tueront pas mes proies ! Non, elles ne s’échapperont pas à cause de ces imbéciles ! Non, non, non !
Arg...
Je prend la tête de celui situé devant moi. Je l'écrase, faisant gicler sa matière grise. Je jette le corps sur le coté. La porte est libre. Je la défonce, et me met à courir aussi vite que je le peux, répéter l'opération du premier infecté plusieurs fois, pour être sur d'avoir un chemin dégagé jusqu'à mes proies fuyantes.
Ici... La mort... Revenez...
Ne partez pas. Le bruit... Le bruit... Tout ce bruit, m'explose les tympans. Je veux juste... Vous tuez. Rien de plus... Juste... Me calmer.
Restez, j'arrive.

par **Cat :p** Lun 12 Déc 2011 - 13:18

L'agitation a pris le dessus . . Sortant de la ruelle où elle s'était dissimulée, flech' se retrouve derrière le sram et qui grâce à ses instincts de prédateur ne la remarque pas. Flech sourit avec pleine satisfaction tandis que ces yeux infectés fixent le dos du survivant.
Elle le domine tout entier et pourrait le réduire en bouillis sans avoir à fournir le moindre effort. Mais elle n'en tirerait aucuns profils. Les infectés s'approchent trop vite et derrière eux, celui qui a une forte aura. Ils mangeraient sa capture et serraient même capable, dans le cas de celui qui a une forte aura destructrice, de la tuer elle pour avoir tuer à leur place.
Profitant de l'obscurité et de la panique ambiante, elle se faufile donc avec une agilité monstrueuse dans l'embouchure de la plaque d'égout, sans que personne n'est remarqué sa présence.

Arrivée en bas dans un bruit d'éclaboussure peu discret, l'infectée lève les yeux vers la bouche d'égouts avant de se cacher.
Je vous attends, un sourire fend son visage meurtrier.

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